Galerie
page 150 : C’était dans une grandiose et somptueuse demeure de Garden District que Barbara devait se rendre. Olga lui avait conseillé d’y être vers les huit heures, afin de se mêler discrètement aux invités.
page 45 : Le vol de William approchait de San Francisco.
page 41 : Pendant ce temps, la police française n’était point restée inactive. Après les premières investigations, l’enquête avait été confiée au commissaire divisionnaire Blanchaud, récemment promu Patron de la police judiciaire.
page 16 : La Cadillac démarra lentement, remontant la contre-allée en direction de l’Arc de Triomphe… Ivres de sommeil, des curieux, réveillés par le bruit de l’explosion et attirés par les flammes…
page 308 : — Suivez-moi ! ordonna Olson. Venez donc voir le progrès !… André Noilou – alias Jean Piernet – suivit sans discuter monsieur Olson à l’intérieur de la bâtisse où les avait devancé Ted.
page 286 : Arrivé à l’aéroport international de Beyrouth, à 14 H 05 précisément, Jean tenta de suivre Barbara au fil des halls, sans se faire repérer. (…) Jean la laissa partir : il savait qu’il la retrouverait bientôt sur le vol 6510.
page 275 : Et si le souhaitait madame Noilou, elle pourrait prendre la suite de son copain Willi. Comme ils avaient, naguère, eu les mêmes professeurs, ils avaient appris selon les mêmes méthodes.
page 258 : En Sicile, Paulo et Francisco jouaient au billard dans une salle de jeu de la propriété… (...) En fait, personne, m’a-t-il dit, n’est intervenu sur Paris, à part nous… — Mais alors, qui a bien pu flinguer ce flic à notre place ?!…
page 253 : Dans la salle à manger d’époque victorienne, Barbara et Ralph, seuls ce soir, dînaient en tête à tête. (…) — À propos d’exploits, enchaîna Olson, je vous annonce que vous partirez bientôt pour Beyrouth.
page 161 : Le commissaire Blanchaud avait, en Turquie, pressé l’un de ses homologues d’entreprendre des recherches sur un certain Omar Nevropoulos, propriétaire d’une Lincoln blanche retrouvée quelques mois plus tôt, à demi calcinée, avenue Foch.
page 156 : Barbara préféra changer de sujet et parler des maisons à colonnades. Quelle grande époque, cela avait dû être ! — Peut-être pas pour les noirs !… objecta Pierre.
page 152 : Ils lui trouvèrent infiniment de classe. Le grand monde lui seyait. Ils la charrièrent quelque peu, puis mirent le cap sur Los Angeles… N’avait-elle pas été la plus veinarde ?!… Avait-elle vu Hollywood ?…
page 143 : Dans un demi-sommeil, Barbara apprit bientôt qu’elle partait en Louisiane, pour y retrouver ses copains. Ils avaient, d’après monsieur Olson, hâte de la revoir.
page 136 : Entre-temps, dans un officieux laboratoire, niché au fin fond de la banlieue de Londres, l’on s’activait toujours autant, et avec la même ardeur, autour de la cassette. Allait-elle bientôt livrer son étonnant secret ?
page 93 : Sur les hauteurs de Beverly Hills, dans une somptueuse villa, la réception mondaine battait son plein. (…) Car l’Américaine tenait absolument à lui montrer Hollywood sous d’autres facettes.
page 81 : L’inspecteur André Noilou venait à l’instant même de pousser la porte du bureau de location, où Barbara avait naguère loué le camping-car. C’était un grand brun à la chevelure épaisse et aux sourcils abondants…
page 79 : Il se dirigea bientôt vers l’une des croisées tendues de lourds rideaux damassés et sembla ausculter la campagne, tant son regard devenait perçant. Le jardinier, confortablement assis sur l’engin automoteur, rafraîchissait le gazon.
page 79 : Olson allait et venait dans la pièce. Il redressa un cadre doré où figurait probablement l’un de ses ancêtres, mais il ne savait trop où, dans sa généalogie, le situer.
page 77 : Dans son cabinet de travail situé au sein de la bibliothèque, monsieur Olson, confortablement installé à un bureau Louis XV, compulsait un ouvrage sur la révolution française.
page 73 : Pierre avait atterri à New York, à Kennedy International Airport. Il avait pris un taxi pour se rendre à une adresse remise par l’entourage d’Olson : non loin du Paramount Hotel, dans la 46th Street.
page 67 : Ainsi Barbara fit-elle pour la première fois connaissance avec la mégapole. À première vue, les freeways de Los Angeles ressemblaient assez au périphérique et aux autoroutes parisiennes, pensait Barbara.
page 47 : William profita du court voyage en voiture pour prendre un premier contact avec la cité ; c’était la première fois qu’il venait à San Francisco.
page 32 : Comme un majordome, Ted les devançait. Il ne lui manquait plus qu’un candélabre et quelques habits de soie pour remonter quelques générations. Tels des invités de marque, ils s’appliquaient pour monter avec grâce le grand escalier
page 32 : Chargé d’Histoire !… On avait réservé à Barbara la Chambre des Soupirs, tandis que Pierre devait trouver le sommeil dans la Chambre des Martyrs. Quant à William, il logeait dans le Cabinet du Fantôme.
page 36 : Une intense activité régnait ce matin à l’aéroport d’Heathrow. À l’instant même, Barbara franchissait les barrières d’embarquement du vol pour Los Angeles.
page 30 : Ce fut donc entre deux bouchées que Barbara apprit qu’elle partait pour Los Angeles ; William, pour San Francisco ; et Pierre, pour New York ; et dès demain matin… C’étaient, semblait-il, les dernières instructions les concernant.
page 30 : Louchka était réapparue dans le salon, cherchant de bonnes âmes à solliciter de quelques miettes ; aussi s’était-elle posée devant Barbara.
page 27 : Les plafonds, lambrissés de chêne marqueté de bois de rose et de rares essences, avaient de nouveau accroché l’œil de Barbara.
page 27 : Il ouvrit la porte du grand salon, et les fit entrer les premiers. Il leur proposa de s’asseoir dans une sorte de fumoir qui, dans la pièce, se tenait à l’écart du décor central. Ils prirent place dans des sièges de la période chippendale.
page 25 : Ils se retrouvèrent dans un vestibule à la lumière drapée. Une douce clarté filtrait par des vitraux aux scènes allégoriques. (…) Il les avait un jour achetés dans une salle des ventes. En fait, ils provenaient de la chapelle d’un collège.
page 20 : Dès qu’ils furent à bord, le Cessna roula dans la jachère fraîchement coupée, puis décolla.
page 21 : L’homme leur annonça qu’ils atteindraient l’Angleterre dans trois quarts d’heure environ.
page 17 : Sans anicroches, ils atteignirent la voie Georges Pompidou, presque déserte.