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« Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit. Mais tous ne sont pas du même avis sur ces droits et gagnent peu à peu la Terre de raison… Là, tout y est permis, sauf honorer son prochain »
page 9 : J’étais, ici, dans Manhattan en ce jour de 2034… et je levais la tête. C’est à ce genre de petit détail ridicule que l’on reconnaît que vous êtes quelque peu étranger à la ville. Mais bien peu y faisaient attention !
page 221 : Bondit vers la voiture l’un des félins, toutes griffes dehors… D’un coup de patte, il avait emporté un bout de la chemise de Bill, lui labourant partie de l’épaule, torse, et bras.
page 65 : D’un mouvement de pennes, un étonnant volatile venait de rejoindre la petite équipe. (…) Tiens !… Un oiseau qui parle, Bolomé !... (…) Je t’appellerais Océo, si ça ne t’embête pas…
page 55 : Il faut se couvrir, proposa Bolomé… Car la forêt est pleine d’imprévus qui vous tombent de partout ! Sois vigilante ! Observe à la fois le sol et les arbres ! Chaque pas est un piège qui peut devenir mortel si tu n’y prends garde !
page 357 : Ils étaient partis de Battery Park, en direction de la pointe de Manhattan. Dans l’étroit escalier en colimaçon, ils avaient eu chaud… très chaud… (…) Océo prit bientôt son envol, et vers le large…
page 293 : — Table numéro quinze. Un aller simple pour deux personnes pour Safety City, pour le premier gagnant ! (…) Bill se souvenait des paroles de Mustapha… cette possibilité de gagner au casino des allers directs pour Safety City…
page 281 : Savait-il que Shirley vivait dans ce lieu ?… Ou était-il par hasard entré dans cette boîte à la recherche de son amour perdu ou de quelques indices pour la retrouver en faisant le tour de tous les lieux secrets de la Terre de raison…
page 268 : — Ce n’est pas très moral la raison de cette Terre de raison ! — Non… mais les gens peuvent se battre ici, sans nuire ni aux uns, ni aux autres, ni aux institutions. (…) Puis ce fut le grand silence médiatique de la conférence secrète…
page 141: Ils atteignaient à présent les rives du fleuve. Or la brusque détonation avait brutalement réveillé les crocodiles, qui leur barraient la route en ouvrant des gueules béantes.
page 133 : Shirley leva la tête et aperçut l’oiseau au-dessus d’elle se balançant sur un gourmand. Était-ce réellement l’heure de faire de la balançoire ?! pensa-t-elle. Océo sifflait et re-sifflait…
page 159 : Quelques pas autour de la jeep, effectués à bon escient, leur dégourdirent définitivement les jambes… Comme l’horizon leur parut paisible, et la route suivie relativement praticable, ils choisirent, par commodité, de traverser les bois.
page 21 : New York / Brooklyn — Hé, Bill ! cria une voix... As-tu cinquante dollars pour une dose de nyonx ?!… Il s’agissait de la dernière nouveauté en matière de stupéfiant, au même prix que le krack, mais beaucoup moins dangereuse.
page 195 : aux environs de Djakormé — Quant à Roald, il avait insisté pour aller examiner d’un peu plus près cette fameuse bâtisse d’où émergeait ce drôle de tube qui semblait étonnamment garder les alentours du pont.
page 236 : Parvenu à proximité, de plus en plus inquiet, le père s’écria : — Hé ! grand sorcier ! es-tu là ?… — Ah, c’est toi !… Entre donc !… Entre donc blanc neigeux…
page 253 : le lion près du chariot bâché — Ses yeux regardaient ô combien fixement, comme en rêve, ce roi des animaux cheminer à leurs côtés… Les hommes le plaisantaient, allant même jusqu’à essayer de lui caresser la crinière, car…
page 273 : Et là, chemin faisant, il avait rencontré une femelle qui se vautrait d’aise sur l’herbe brûlée par le soleil. Comme elle avait quelque libido insatisfaite, il allait lui suggérer de partager l’en-cas qu’il tenait dans la gueule : Bill.
page 220 : Après quelques heures de route, ils rencontrèrent pour la première fois les grands fauves.
page 42 : Au loin, tandis que se couchait le soleil, ils eurent le loisir de distinguer quelques herbages desséchés. Puis parut devant eux l’insondable forêt dont ils étaient certains de ne pas en voir la fin avant plusieurs jours de marche.
page 99 : Ils allaient choisir la meilleure route pour rejoindre Safety City. Mais comme ils hésitaient, Mustapha, fidèle à ses habitudes, avait tiré au sort… Et le sort avait désigné la route des sables… Ce n’était pourtant pas la plus facile !
page 105 : Lorsqu’ils se réveillèrent, le soleil était déjà haut dans le ciel. Leur première vision fut celle de sable à perte de vue.
page 101 : Ils se reposaient à présent dans un paysage tourmenté… Ils reprirent leur marche de nuit, et se dirigèrent grâce aux étoiles. La moindre erreur de navigation leur aurait été fatale, car ils se seraient éloignés des points d’eau potentiels.
page 79 : L’un des avions venait d’atterrir… (…) Les aéroplanes étaient au nombre de six et faisaient chaque jour la navette entre l’aéroport de l’île de Tasmoulo et la zone aéroportuaire de la Terre de raison, basée dans la banlieue de Crazy City…
page 226 : Car quelques arbres avaient fait leur apparition, notamment des baobabs difformes aux troncs étonnamment disproportionnés.
page 345 : Ce qui restait de l’équipe quitta enfin la dune pour se rendre en bordure du fleuve, près de l’un des embarcadères. La singulière ville (Safety City) se mit à grossir à vue d’œil.